| Cho Hyo Jin ▶Pour quelqu'un qui ne voulait pas me faire souffrir, tu as visé bien haut. [END] ϟ Dim 10 Nov - 23:45 |
| Cho △ Hyo Jin △ 23 ans △ 10/05/90 △ Coréenne △ Hétérosexuelle △ Célibataire △ Serveuse △ Personnel △ Classe moyenne △ Corée du Sud △ je suis à bord de l'Arigan Quest ✎ Je t'agace? J'espère bien ... | C’est une jeune femme qui ne s’aime pas, en la voyant vous aurez toujours la sensation que c’est une jeune femme fragile ayant peut confiance en elle et pour tout vous dire, vous n’auriez pas tort. Vous voulez savoir pourquoi elle a une image d’elle aussi négative, sans doute parce que l’absence de son père l’a rendu plus faible qu’il n’y parait, pourtant elle fera tout pour le nier, mais face à certaine situation vous serez capable de la voir flancher, mais aussi se relever parce que son père lui a appris que même seule et affaibli, par autrui ou pas les événements qui nous arrive dans notre vie, cela ne doit pas pour autant vous laissez vous malmener, elle parviendra donc à se relever mais si à chaque fois, elle en souffre. Il se dégage d’elle un sens du devoir, une certaine force qui peut parfois étonnée tout comme déplaire. Elle est douce, elle n’est pas du genre à blesser les autres par plaisir, elle l’évite généralement, elle préfère être blessée plutôt que de voir les autres en peine, parfois ça l’a met dans certaines situations où elle se retrouve en danger. Parfois manipulée ce n’est pas pour autant qu’elle est naïve, elle veut juste offrir de l’amour, une certaine loyauté, même à ceux qui pensent ne pas le mériter. Un peu trop enfantine et fleur bleue pour croire que tous les êtres humains ont une bonté et une loyauté. Il lui arrive d’être impulsive, elle peut parfois se battre quand c’est nécessaire et que c'est son dernier recours pour s'en sortir, après tout elle a une certaine maîtrise en self défense dont elle est plutôt fière. Franche parfois un peu trop, elle a du mal parfois à ne pas dire ce qu’elle pense ce qui peut parfois offenser autrui. Elle est sociable, elle est du genre à apprécier la communication et l’échange envers autrui. Par moment, elle apprécie l’isolement, prendre un instant pour se poser, un livre en main, en appréciant la vue de l'océan quand son planning le lui permet. Prévoyante, elle n’est pas du genre à se laisser déborder par les événements ce qui peut parfois lui porter tort, la preuve son père ne se prive pas de lui dire que "la mort n’est pas une chose que l’on prévoit" et elle enchaînera toujours dans ce cas-là "revient ça nous évitera ainsi de prévoir tes funérailles". Rancunière par moment, quand on se joue d’elle, parfois elle peut montrer un autre côté de sa personnalité que l’on ne pourrait pas soupçonner, il lui arrive parfois de se montrer cruelle quand on joue trop avec sa patience et ses sentiments. | Naître, c'est recevoir tout un univers en cadeau. Il était une fois. Toutes les histoires commencent ainsi et je ne fais pas exception à la règle. Heureusement sur ce côté-là, nous sommes tous unique, nous sommes tous venu au monde, tout comme nous finirons par le quitter. Ne soyons pas fou, défier cette évidence sera seulement une perte de temps. Que dire sur moi, je ne vais pas non plus faire un roman, je ne suis pas du genre commère, enfin en ce qui concerne ma vie je suis plutôt discrète. On va dire que j’ai eu une enfance heureuse et épanouie, j’étais une petite fille sociable, drôle et attachante, avec ses propres idées, et qui faisait rire ma mère tout comme la rendait folle parfois. Le seul souci dans ma vie, c’est que je n’ai pas eu la chance d’avoir mon père auprès de moi, comme je l’aurai souhaité. Etant militaire, une place convenable et passionnée par sa dévotion, qui passa bien avant sa fille. J’en ai souffert mais je n’en suis pas morte non plus, j’ai appris à vivre avec, sans me plaindre constamment. Sa présence me manquait tout comme il manquait affreusement à ma mère, qui est fleuriste au passage. Je me souviens encore de cette fascination que j'avais envers les fleurs, cette liberté qui commençait à s'insinuer en moi. Les permissions que mon père avait pour nous retrouver, nous en profitions toujours et à chaque fois c’était un bonheur immense, malgré la distance, j’avais une affinité et un amour incandescent envers lui, je me souviens l’enlacer à de nombreuses reprises, lui dire des mots d’amour, quand j’étais une enfant, c’était l’homme de ma vie ( à cet époque) . Hélas, quand il devait repartir j’étais toujours en pleure, hurlant à chaude larme, lui demandant de rester mais à chaque fois il partait. Je me contentais d’aller me réfugier dans ma chambre, pleurant, ayant la sensation que mes larmes ne cesseraient jamais.
Quelque chose ne va pas avec mes étoiles ? Dit ? Est-ce que vous avez déjà eu cette sensation que le monde était contre vous que vous aviez l’impression qu’un tremblement de terre ne cesserai jamais de s’abattre sur vous ? Ne parlons pas des dégâts occasionnés par un tel phénomène climatique, digne de la nature. Quand j’étais une jeune adolescente, ne pas voir mon père était devenue invivable, à chaque fois qu’on parlait de lui, je ne voulais rien entendre, et j’exprimais ma haine que j’avais en son égard, tout simplement parce qu’il avait l’air de ne pas comprendre la souffrance, ni les épreuves que je traversais. J’ai vaincu une scolarité enrichissante je tiens tout de même à vous rassurez, mais à chaque fois j’enviais mes amis d’avoir leur père auprès d’elle, ne comprenant pas pourquoi elle avait la chance de pouvoir le voir tous les jours, elles ne se rendaient pas compte de la chance qu’elles avaient. J’étais une jeune fille sociable, qui aimait sortir et s’amuser, j’adorais toutes les activités en ayant un rapport avec l’art et la culture, tout comme le sport, à chaque fois c’était une joie immense. J'avais cette soif de liberté qui ne cessait de' s'intensifier. Ma mère a dû supporter mes sautes d’humeur et cette haine que j’éprouvais envers et contre tout. La seule fois où je pouvais évacuer ce stress et ce manque, c’était auprès de mes amis tout comme au bord de l'océan. Quand mon père revenait cette fois ci je l'évitais, je prétextais souvent que j’allais passer la nuit chez une amie, je remplissais mes journées de mille et une activité, afin d’éviter de le voir trop souvent, je ne voulais m’habituer à sa présence pour ensuite la voir disparaitre. Quand il repartait la souffrance était moins présente, mais je ne le montrée pas, je me contentais de la saluer poliment, parce que je demeurais respectueuse envers elle, j’allais dans ma chambre prétextant que j’avais des devoirs à faire ou un examen important à passer le lendemain, donc je devais réviser. Parfois, je pleurais après tout malgré ça, sa présence me manquait toujours autant. Désormais je suis au lycée, je suis épanouie et j‘ai muri, pourtant je reste toujours cette jeune femme sensible et enfantine, qui ne me quitte jamais, je transmets ma joie et mon amour à mes proches, tout comme à ceux qui en ont besoin, même s’ils prétendent le contraire.
Il m'a sauvée de toutes les façons possibles dont on peut sauver une personne. Est-ce que vous avez déjà eu cette sensation, quand votre regard se pose sur quelqu’un, qu’un étrange sentiment vous enveloppe de la tête ou pied ? Votre cœur bat la chamade, vous ne savez pas quoi dire ni comment réagir, vous êtes maladroite, vous n’êtes pas vraiment celle que vous êtes. Vous devez sans doute avoir une expression quelques peu étrange et pourtant même si vous le savez, vous ne pouvez pas aller contre ça. Pourtant vous n’arrivez pas à mettre de mots face à ce que vous ressentez. Vous le rencontrez par hasard et subitement vous avez envie de le connaître, pourtant sa froideur, cet air mystérieux comme si rien ne pouvait l’atteindre, vous transperce le cœur. Il est étrange, tout le monde le craint et pourtant vous vous le trouvez attachant et vous ne souhaitez qu’une chose : l’aimer. C’est un combattant, il sait ce qu’il veut et il n’a pas peur de dire haut et fort ce qu’il pense, ni à se montrer cruel quand il le juge nécessaire, il est capable de prendre des décisions et ça vous bluffes parce que à côté de lui, vous ne pouvez pas être comparable, vous êtes l’opposée. Une relation nait entre vous, vous ne le niez pas, pourtant l’engagement vous effraie car vous savez qu’il sera amené à vous quitter un jour, à faire son service militaire, vous vous demandez si vous aurez la force suffisante pour vous souciez de deux hommes, qui ont un grand impact dans votre vie affective. Vous tentez de vous éloigner, mais il vous retient à sa manière, quand vous êtes blessée il est là et pourtant, il vous blesse aussi mais vous vous demandez s’il s‘en rend vraiment compte. En gros, vous êtes tombée amoureuse d’un homme. Combattant – Indifférent- Mystérieux – Froid – Hautain. Tout le contraire de vous, mais à force de le côtoyer quand vous en avez la possibilité, vous découvrez une tout autre facette de lui, qui vous plait encore plus, mais qui vous rend mal à l’aise. C’est la symphonie des sentiments qui s’entrechoquent et se mélangent. Pourtant vous ne vous êtes jamais senti aussi vivante quand sa présence. Vous voulez l’aimer même si vous ne savez pas comment paraitre, sans vous montrez maladroite. Vous l’aimez donc votre courage se sent décuplait et vous parvenez à vous exprimer, il vous donne en retour ce que vous n’aurez jamais soupçonné. Son amour – Son engagement – Une promesse – Un épanouissement – Un feu d’artifice aussi éclatant que la chaleur du soleil. A vrai dire, elle aimerait passer le reste de sa vie avec cet homme, mais elle ne peut pas se permettre de mettre en péril sa liberté, pour un amour. Vous vous rendez compte que vous avez aimé véritablement pour la première fois, pourtant vous êtes amenée à vous séparez, ainsi va la vie, vous n'auriez jamais soupçonné le revoir sur ce bâteau, un jour et pourtant ...
Ton cœur est libre, trouve le courage de le suivre. Comment ai-je atterrie ici sur ce bateau ? Ça n’a rien d’extraordinaire, ça n’est même pas dû à un miracle, c’est juste dû au hasard, rien de plus rien de moins. Pour moi ma liberté est ce qu’il y a de plus sacre dans ma vie, donc je me suis tout simplement dite qu’être sur un navire tout en ayant un employé pourrait me permettre de voyager d’une certaine manière sans avoir la moindre attache. J’avoue que le décès de mon père pourrait être le moteur de ce choix et de cette envie de m’éloigner de cette vie qui ne correspondait plus vraiment. J’avais le poids des regrets et des remords que je ne parvenais pas à faire disparaître auprès de ma famille, pour moi la meilleure solution fut de partir et de me perdre en main seule, sans compter sur personne. Ca fait maintenant un sacré bout de temps que je suis sur ce navire, même si le boulot n’est pas toujours facile et qu’il peut parfois se montrer usant et énervant face à certain comportement des passagers, je parviens à apprécier ce métier qui n’en est pas vraiment un, mais ce que j’y gagne : c’est ma liberté. Il m’arrive parfois de revenir sur terre pour voir ma famille mais je n’y reste jamais bien longtemps, je reviens toujours vers l’océan, ma famille ne me manque pas vraiment j’arrive à vivre sans eux et j’en suis plutôt fière. J’ai ma propre cabine ici, je fais des rencontres à la fois intéressante tout comme parfois agaçantes mais c’est ce que j’aime : l’imprévu.
| On me surnomme Sushie. Je suis une femme mais je ne dirai pas mon âge par contre. Je connais le rpg depuis maintenant plus de 6 ans. Je risque d'être là très très souvent donc rarement absente sauf si je suis malade, là en ce moment je me remet d'une opération des 4 dents de sagesses donc je vous dis pas comment j'ai souffert et je souffre un peu encore. Bref je m'arrête là sur le racontage de vie c'est pas très important. Point de vue rp ça varie mais ils sont rarement court et je m'adapte aussi à mes partenaires tout comme à mon inspiration. Je ne suis pas difficile à vivre mais je suis parfois difficile à cerner, mon caractère est plutôt étrange donc je préfère le dire lol. Sur ceux j'espère passer de bons moments en votre compagnie mais je n'en doute pas, car tout le monde m'a l'air fort sympathique. ♥ | |
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