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Han Keenan △ Dans la déchéance des autres on entre pas sans s'abaisser.
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Han Ki Seol
Crazy Crazy cool
Han Ki Seol
A embarqué le : 09/11/2013
Notes : 721
Age : 31
Sur le bateau je squatte : Sun Desk baby
Han Keenan △  Dans la déchéance des autres on entre pas sans s'abaisser. Empty





Han Keenan
han keenan vingt deuxdouze aoûtaméricano-coréenhétérosexuelcélibataireLibraire + Hôte pour ces damespersonnelmodesteEtats Unis - SeattleArigan Quest
« Dans la déchéance des autres on entre pas sans s'abaisser. »
Regardes moi, je t'effraies parce que je suis différent. Différent de toi, gosse de riche qui se tient tellement bien. Moi aussi je faisais parti de ce milieu tu sais. Mais j'ai jamais eut ce putain de caractère. Cette touche presque maniérée, j'ai jamais parlé en langage soutenu, j'ai jamais bu le thé en levant le petit doigt pour faire bien. J'ai jamais respecté les horaires pour rentrer. J'ai toujours traîné qu'avec des gosse de classe inférieur à moi. Au fond je suis plus un gosse de la rue qu'un gosse de la haute. Tu peux essayer de m'impressionner avec ton fric, ça marchera pas. Je suis pas quelqu'un de matérialiste. Je suis assez franc, j'ai pas peur de te balancer tes quatre vérités en face et si ça te plaît pas c'est la même chose, ça m'empêchera pas de dormir la nuit tu sais. J'ai l'air froid, ouais, peut être, pourtant je le suis pas. Je suis quelqu'un qui aime rire, un vrai boulet parfois, ouais, je suis un peu maladroit, mais je me suis amélioré. Je me prends pas vraiment la tête, tu m'aime c'est cool, tu m'aime pas, c'est pas grave, j'en ai rien à cirer. Je suis assez provocateur, j'aime bien, je trouve ça drôle, surtout pour voir ta réaction, ouais. Au fond je suis pas méchant tu sais, il m'arrive de m'énerver, je me suis déjà battu ouais, et j'ai toujours gagné, alors, essaies pas. Si tu viens à t'en prendre à ma sœur, je te démonte. Et si tu touche à quelqu'un qui m'est proche, c'est le même topo. Alors tu sais quoi, évites de chercher on sera tous tranquille et content. Je viens de la rue et des cas pires que toi j'en ai croisé, plusieurs même. J'en suis même un alors. Ne nous compare pas, je ne supporte pas ça. Au mais don't worry, j'suis assez fun en général . Fun mais sérieux. Quand je travaille surtout. Bon à la librairie je me perdais facilement dans un bouquin, étrangement hein ? J'aime lire, je suis assez rêveur par moment, on peut me distraire facilement, je l'avoue. Mis à part ça, je sais pas vraiment quoi te dire, tu me verra peut être comme quelqu'un de renfermé alors qu'en vérité je suis assez ouvert. Sentimentalement parlant ? Je suis assez jaloux et possessif de nature. Je met un certain temps avant de m'attacher à quelqu'un, enfin ça dépend des personnes. Je suis protecteur que ce soit envers ma petite amie ou envers mes proches, je suis à l'écoute et prêt à tout pour eux. Je suis quelqu'un de déterminé et je vais au bout des choses. Je me sens facilement coupable et le poids qui me pèse le plus, c'est d'avoir rendu ma sœur aveugle, si tu veux me mettre de mauvaise humeur suffit de me parler de ça. Ouais, mais bon évites. J'ai un mauvais caractère quand je suis de mauvaise humeur.
Petite sœur. Tu te souviens le sourire de maman ? Il était si doux, tu ne pouvais pas le voir. Hein, à cause de moi tu n'as plus put voir le sourire de maman, lire les livres de papa, faire de la peinture. Je me souviens encore de ce jour où tout à basculé, je m'en veux tellement tu sais. Je me souviens encore de papa qui fait les cent pas dans le couloir de l'hôpital. Moi assit sur une pauvre chaise en plastique et maman qui n'était même pas là. On avait quoi ? Neuf et sept ans, peut être ? Tu sais je m'en veux tellement. Quand les médecins ont annoncé que plus jamais tu n'allais pouvoir voir, papa m'a jeté un regard plus que noir, comme s'il m'en voulait, et il avait raison. J'avais que neuf ans, les médecins on essayé de me défendre mais rien à faire, après ça a été le calvaire à la maison, la déchéance. Mais tu m'en as jamais voulu. T'as voulu continue à jouer avec moi. Je me souviens encore de ce jour où tu m'as demander d'aller au parc avec toi, c'était peut être deux ans plus tard, tu voulais que je te décrivent le paysage, exactement comme je le voyais. J'étais devenu tes yeux. Et je prenais mon rôle très à cœur, et aujourd'hui encore. On a continuer à grandir, la culpabilité ne me quittais pas, mais j'ai tout fait pour avoir bonne conscience pour me rattraper. Maman était peu présente, je sais pas ce qu'elle foutait d'ailleurs. Mais qu'importe. Papa était là. On était des gosses de riches, et pourtant on traînait plus dans la rue qu'autre chose. Tu voulais toujours que je t'emmène lorsque je sortais. T'avais dix ans, moi douze et lorsque je sortais jouer avec les autres, tu me suivais toujours. Tu en m'as jamais lâché et je t'ai toujours protégé. Quand tu faisais une bêtises, j'étais là pour te couvrir, je ne voulais pas que ça te tombe dessus, j'me disais qu'il fallait au moins ça pour me rattraper de mon énorme connerie. On a continué à grandir, soudés, toujours l'un avec l'autre. Puis nouvelle épreuve. Papa est mort, j'avais quinze, j'étais qu'un pauvre gamin en pleine crise d'adolescence et toi t'étais dans la pré adolescence. On a eut l'air fin. Maman nous a laissé tombé, elle a vendu la maison et s'est barré avec son nouveau mec, qui devait déjà être son amant, j'en sais rien et je m'en fous. On s'est retrouvé à la rue, sans rien, ni personne, pas un seul membre de la famille pour nous recueillir. Heureusement que je connaissais les rues comme ma poche. J'ai commencé à faire n'importe quoi, C'est là que j'ai commencé à fumé, tu le savais, tu le sentait, j'aurais eut beau essayé de le cacher, tes autres sens étaient sur développés et tu l'as deviné dés le premier jour. Tu me l'as reproché, ouais. Mais j'ai pas arrêté petite sœur. Mais encore, je fumais pas beaucoup tu sais, avec zero thunes en poche, je prenait ce qu'on me donnait. On avait l'air bien à mendier pour ne serait ce qu'un bout de pain. Et quand on avait juste assez pour un petit pain, on se le partageait, mais je te donnait toujours un plus gros bout. Je te laissais pas faire la différence entre nos morceaux. J'ai tout fait pour prendre un maximum soin de toi. Et puis j'ai commencé à voler, parce qu'on ne recevait rien, plus rien. Un jour, tu m'as demandé de te lire un livre que papa avait écrit, mais on en avait plus, on avait presque plus rien. Alors, je suis rentré dans une librairie, j'ai cherché et j'ai tenté de le voler. Mais le libraire m'a chopé ce jour là. Il était âgé, célibataire et sans enfant. Je lui ai expliqué que c'était pour toi, pour ma sœur, aveugle, et que ce livre, c'était notre père qui l'avait écrit. Et, j'ai été surpris lorsqu'il m'a proposé de nous hébergés, j'ai pas refusé, non, je t'avais enfin trouvé un toit. Et pour qu'on puisse resté chez lui, j'ai travaillé à la librairie moi aussi. Tu as pu retourner à l'école, moi ça me servait à rien, je suis juste un petit délinquant des rues, je suis pas con, mais les études, c'était pas pour moi. Je travaillais dur, j'ai même enchaîné des petits boulots à côté de la librairie, pour avoir un peu plus. Pour pouvoir t'offrir ce que tu avais toujours voulu, un croisière en bateau. Notre père adoptif était loin d'en avoir les moyens, alors j'ai économisé. J'ai pu n'acheter qu'un billet, et je te l'ai offert. Je me souviens encore de tes larmes, tu ne voulais pas partir seule. Pourtant on avait qu'une place, et plus assez d'argent pour en prendre une deuxième. Alors j'ai regardé s'ils n'avaient pas des propositions de postes, n'importe lequel, j'aurai prit, c'était juste pour pouvoir monter avec toi à bord de ce bateau. Heureusement pour nous, un hôte est tombé malade lors de l'escale précédente et donc ils m'ont proposé de le remplacer, je suis pas un expert, mais je le fait pour toi, petite sœur. Dis moi que ce voyage va te plaire, c'est tout ce que je demande.

Ton grand frère.
JE SUIS TON PÈRE ! -pan- Je suis Lightless.tchi et si tu veux en savoir plus va voir la présentation du staff 8D oui, j'ai la flemme.


Ft. Yong Jun Hyung


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