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Meng Kuan Ti + Tût Tût pouêt pouêt c'est ici la trois fromage ?
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Meng Kuan Ti
Meng Kuan Ti, aka Koji Vingt-cinq ans08.19.1988ChinoishétérosexuelLibertinYakuza, enfin livreur de pizzas officiellement  △ VacancieraiséSeattleParadise Place
Tu veux que nous jouions sérieusement ?
« Cherche pas petit, t'as pas la gueule à l'emploi » Et ta mère, elle l'a, la gueule à l'emploi ? Un nouveau soupire fendit mes lèvres au moment même où il se sentit dans l'obligation d'énumérer un à un les points qui me ferait défaut pour ce job. Les mains dans les poches, un bâton de sucette caressant mes dents à chaque roulade auxquelles je l'obligeai, les jambes étendues devant moi et le gorge offerte au plafond, je fermai les yeux pour contenir cette déception amère doublée d'une colère naissante. Il s'agissait avant tout de ne pas perdre le contrôle, ne pas perdre la face et se retenir de commettre les pires atrocités qui me passaient alors à l'esprit.

Je reniflai avec dédain et mépris en lui rappelant d'un regard à quel point je lui étais supérieur, et à quel point il était idiot pour ne pas le comprendre, mais ce petit être ventripotent ne devait même pas en avoir conscience. L'ironie, dans tout cela, le summum pour ainsi dire, c'est qu'en postulant je savais pertinemment que la réponse obtenue serait celle-là. En même temps, il faut se l'avouer, je n'ai pas vraiment une tête à tenter le baby-sitting. Trop soigné, trop superficiel, trop dangereux pour. Je parie même que j'aurais craqué au bout de deux heures ; la patience n'est pas mon fort. Cependant j'étais en situation d'urgence : il me fallait absolument un job pour couvrir mes activités. Il serait idiot de  pas m'étiqueter Yakuza, et il faut savoir que je suis tout sauf con.

En même temps, quand on est élevé dès le berceau chez ces japonais-là, on a tout intérêt à développer de bons atouts, et à ce niveau-là je suis pas vraiment mal logé, bien que je me traîne toujours ce surnom infernal de gamin puisque je suis le plus jeune de l'unité. Toutefois, pensez pas qu'un tel surnom est forcément négatif : je jouis d'un statut spécial qui fait que peu importe mes erreurs, étant doublé d'un rang de « favori du boss », je suis excusé. Pantouflard, jamais à l'heure, arrogant, ce ne sont plus de simples envies, je peux aisément les appliquer sans risquer ma peau. Enfin sans risquer celle qui me servira plus que les autres.

Las d'entendre mon vis-à vis débiter des conneries plus grosses que le monde, je ruminai, me relevai et m'en allai en prenant soin de claquer la porte avec violence. J'ai ma fierté et elle m'empêche clairement de rester assis-là à l'écouter. De toutes façons, si lui ne voulait pas de moi, il me restait des milliers d'asiatiques chez qui je pourrais dégoter un petit travail de couverture, pas trop dur. Il ne fallait surtout pas que je me foule ou me casse la tête, un homme comme moi ne vit pas pour travailler et se tuer à la tâche, il vit pour rappeler aux autres qu'il y en a qui seront toujours au dessus. Et puis, je suis un chanceux,je trouverais dans la journée sans doute.

En attendant, il me fallait juste de quoi oublier cette déception et flatter mon égo, et pour ça, rien de mieux qu'une femme soumise et lèche-cul qui pourrait me cirer les pompes jusqu'à ce que je m'en lasse aussi. J'aime les femmes, c'est un de mes points faibles, mais je les aime vives, à fort caractère et insupportable, pour qu'on fasse la paire. Celles qui se laissent faire ne sont bon qu'à copuler avant d'être jetée. En tous les cas, il me fallait une femme, là, maintenant, qui pourrait lustrer ma personne sans me prendre la tête. Et aussi un petit verre, pourquoi pas.

Vous l'aurez compris, je n'ai pas la tête à l'emploi pour les choses doucereuses, et mon CV n'est guère bien rempli. Je ne vis pas dans le même monde que vous, pour ma part je suis sans cesse en voyage, à l'autre bout du monde, mon emploi du temps ressemble à celui du ministre. Je suis un homme très exigeant mais aussi intolérant, ce qui contraste avec le fait que je sois le benjamin de mon équipe. Je sais me montrer mature et réfléchit mais il faut que la situation le nécessite, puisque je suis le genre de personne à fêter sa venue à l'étranger par une party hard version projet X. J'aime mettre le bordel, ramener la misère, faire éclater la peur et la colère, je suis un troublemaker, cela me distrait. Aiiiit.. Après tout je ne suis qu'un enfant gâté et en possession d'armes dangereuses.

Mais si je n'étais pas un minimum attachant, comique et digne de confiance je ne ferais plus partie intégrante des Yakuza, nee ? Toutefois ils ne savent pas tout, puisque s'ils savaient qu'en cas d'ennui j'ai tendance à fuir et impliquer les autres à ma place pour sauver ma peau, je serais passé sur le grill depuis un moment. Je ne suis pas lâche ; fuir est une forme d'intelligence qui permet d'assurer son avenir. Et puis il ne faut pas croire qu'un Yakuza n'a pas de vie sociale, bien au contraire, il faut juste trouver les bonnes personnes, et peu sont dignes de s'élever à mon niveau.
« Yo Koji, le boss te cherche. Il paraît que t'as encore foutu la merde en ville ? » Je soupirai et passai une main dans mes cheveux récemment teints en blond pour domestiquer les quelques mèches rebelles refusant de se soustraire au gel. Puis, en comprenant ce que je risquais, mais surtout ce que mon statut de chouchou m'évitait, je grognai et sautai de cette caisse en bois pour atterrir sur le sol en béton du hangar de Kyoto. D'un claquement de langue, je rappelai les deux hommes qui me servaient d'acolytes, mais surtout de chiens de garde, à mes côtés et finis par donner une claque amicale dans le dos de l'autre avant de rire : « Si tu savais. Deux putain de bombasses, j'allais conclure. Ouais mec, avec les deux, j'avais la gaule, un truc de bien. Et là le gars d'une des deux se ramène. Grosse emmerde tu vois ? Il fait partie du gang qui s'est installé dans les environs y'a quelques mois. C'est de là qu'il vient le bordel mec. Bon j'y vais sinon j'vais m'faire déchirer. » Ce que je connais le mieux, en fait, ce sont sans doute les hangars japonais, ceux aux toits délabrés, aux murs à la peinture écaillée et aux sols bétonnés. Ceux-là mêmes dans lesquels on entasse les caisses inutiles et les pots métalliques vides. Ces hangars sont ma maison, mon foyer, et ce bien davantage que la maison qui me tend les bras à Shanghai. Shanghai est l'une des villes les plus peuplées de Chine, là où je suis né, et pourtant, pour n'y être resté que quelques années tout au plus, je n'en garde ni souvenirs précis, ni même attachement. A n'y pas tromper je suis un jaune pur-souche, issu d'un milieu social aisé même pour tout dire, mais pour quelques raisons qui me sont longtemps restées obscures, j'ai été envoyé vivre au Japon chez ma tante. Et je peux considérer que c'est à partir du moment où mes pieds ont foulé la terre japonaise que ma vie a pris un sens, que mon existence a écrit son histoire à l'encre indélébile. Tel l'être égoïste qu'ils avaient façonné par leurs présents trop nombreux et mes caprices acceptés dès lors qu'ils étaient prononcés, mes parents ont été rayés de ma vie au moment-même où j'ai découvert les opportunités que me réservait l'avenir.

« T'es une graine de voyou. » Cette remarque me fit rire, et je tournai alors la tête avec insolence pour me soustraire à son regard tout en esquissant un rictus hautain et méprisant. Evidemment que j'étais de la graine de voyou, autrement je ne serais pas Yakuza. Ici, nous le sommes tous. « Tu sais au moins combien de gens nous allons devoir menacer pour éviter de payer ton bordel ? Kuan Ti, je te préviens, tu sentiras passer la prochaine erreur. » Je déglutis alors et m'inclinai avec un respect retrouvé : les mots du chef savaient dompter mon esprit rebelle, surtout lorsqu'on sait qu'il ne parle jamais dans le vide. Par ailleurs, il est le seul ici à m'appeler par mon nom d'origine. Ici, pour tous, je réponds à l'appellation de Koji. Lorsque je suis arrivé chez ma tante, l'intégration n'a pas été simple. Les enfants sont des lions affamés à la recherche de la cible blessée, la gazelle malade qui ralentit le groupe, le rejeton trop lent pour suivre. J'étais victime d'harcèlements pour de multiples raisons : j'étais nouveau, j'étais étranger, j'étais excessif dans mes réactions, et mes parents ne vivaient pas avec moi. J'ai changé de nom pour combler l'un de ces trous béants, on m'a alors reconnu comme nippon. Comme Koji. Mais cela n'a fait que poser une feuille vierge sur le fossé dans l'espoir d'en cacher le fond pour ne pas être pris de vertiges. Lorsque le bœuf se retrouve acculé par ses poursuivants au bord du précipice, il affûte ses cornes et charge. Je suis une graine de voyou depuis que j'ai saisis que mes poings seuls faisaient taire les autres, que faire pleurer avant qu'ils ne le fassent m'évitait la honte et la peur. Et ce n'était sans doute pas la réflexion la plus intelligente de ma vie que de m'impliquer dans de multiples affaires qui ne me regardaient pas. Voyez où j'en suis aujourd'hui, enchaîné à une organisation qui fait trembler les gens par son simple nom, qui apporte la mort chaque jour. Je ne suis jamais devenu un lion comme les autres, je suis un tigre solitaire qui dévore ses semblables pour agrandir son territoire. Et c'est ce qui fait mon éclat dans le milieu.

« J'ai quelque chose à te proposer. » Cette phrase sonnait comme une impression de déjà-vu dans ma tête. La dernière fois que l'on m'a parlé ainsi, je me suis retrouvé dans des ennuis plus grands que moi. C'était au lycée. Je n'étais guère populaire, et ma tante en était peu fière. Mes parents ne sont jamais venus s'en plaindre. A vrai dire, mes parents ne sont jamais revenus tout simplement. Mon meilleur ami était mon opposé, il était le soleil qui rayonnait et j'étais la lune, seule et taciturne, qui ne pouvait au mieux que lui faire de l'ombre. Bon élève, grand sportif, charmant, il était celui qui n'avait jamais le moindre problème. Et j'ai été celui qui lui en a apporté. Suite à une bagarre que je pensais enfantine qui a mal tourné, les représailles ont été durs, ils s'en sont pris à lui et comme le diable que j'étais et que je demeure, je l'ai défendu jusqu'à ce que mon corps en saigne et refuse de bouger. La douleur, amère, brûlante, traversante, de la déception lue dans le regard de ce garçon tabassé et prisonnier de deux bras musclés, me fit commettre l'irréparable. J'aurais tout fait pour qu'il s'en sorte, pour me punir, me repentir, et je l'ai fais. J'ai quelque chose à te proposer. J'ai mis ma hargne, ma rage de vivre et de vaincre contre le monde au service des Yakuza à l'âge de seize ans. J'ai vendu mon âme au diable et ai basculé dans le monde des adultes trop tôt. Je hais les propositions, lorsqu'elles ne sont en réalité qu'obligation douloureuse.

« J'ai une mission pour toi. Tu dois retrouver Tim Hawkins et le soustraire à une entrevue avec moi-même. Il loge en ce moment même à Seattle. Tu peux utiliser tous les moyens à ta disposition, mais reste invisible. Tu peux emmener qui tu veux. Pourquoi pas tes deux caniches, ça leur fera prendre l'air, ils attendent ça depuis des lustres. Les billets sont dans cette enveloppe sur mon bureau. » Comme je m'en étais douté, il ne s'agissait pas d'une réelle proposition mais d'un ordre reformulé. J'hochai la tête et déglutis nerveusement : mes seuls voyages à l'étranger avaient été encadrés par ma tante ou les accompagnants scolaires. Partir seul, à vingt-cinq ans, m'effrayait. Je n'étais pas à proprement parler un adulte, je n'ai pas un quart de siècle comme tous le pensent. Je n'ai jamais eu d'adolescence concrète et je suis en pleine crise depuis quelques années. Il paraît que me faire face revient à parler dans le vide, ou à un gosse. Un gosse n'est pas censé partir seul en compagnie de deux bambins à l'inconnu pour une mission si périlleuse. Toutefois je ne pouvais refuser, j'avais bien davantage peur du refus que de l'acceptation.

« Tu peux disposer. » De nouveau j'hochai la tête et me retirai après avoir récupéré les billets. J'étais un tigre, mais un tigre en cage, un tigre qui sait se soumettre pour assurer sa survie. Longeant les couloirs gris terne aux effluves d'urine  pour rejoindre le bâtiment principal, les mains dans les poches, je songeai déjà aux deux idiots qui m'attendaient avec impatience, familièrement rebaptisés « les caniches » par leur soumission et obéissance totale au petit prince que j'étais. Je poussai la porte d'un coup de pied, la laissant heurter violemment le mur en un fracas retentissant, m'attirant l'attention de tous. « Kaname, Josh, on a une mission. Le premier qui fait foirer le plan je m'en occupe personnellement et je m'assure qu'il ne puisse plus marcher. J'ai été clair ? Bien, on y va. » Qui ici avait ses affaires ? Nos affaires n'étaient point matérielles, nos bagages n'étaient que nos souvenirs, nos mœurs et coutumes, nos relations, notre attachement, et tout au plus notre passeport. Il n'était donc que futile d'attendre encore et plus vite je faisais face à l'inconnu et à ma phobie de l'extérieur, plus vite j'en serais guéri. Il ne nous fallut que quelques heures pour rassembler nos bribes d'importances et embarquer pour Seattle.

Après un long voyage harassant à la lisière du suicide mental, nous avons atteint Seattle. Un vrai labyrinthe bien peu semblable à Kyoto, une ville vivante et épuisante, bouffante. Je vous passe les détails, mais la course-poursuite s'est engagée dès le lendemain avec les bien maigres indices en notre possession, et tels les bons chiens du boss que nous étions, bien formés, il ne nous fallut guère de temps pour accomplir notre mission. De moitié. Je veux dire, nous avons retrouvé cet homme et l'avons bien convaincu de faire un détour par Kyoto ; à vrai dire les armes et les menaces l'ont davantage convaincu que nos belles gueules. Mais nous étions censés l'escorter pour être certains qu'il ne prendrait en aucun cas la fuite, et c'est ici que l'histoire se complexifie. Par une maladresse de bleu -réveil qui n'a pas sonné- je suis arrivé en retard sur le quai. Mes hommes de main m'ayant attendu pour suivre notre cible, ils ont écopé d'une engueulade digne de ce nom et comme il me fallait un ou des coupables, ils ont du supporter ce mauvais rôle. Sortant d'une nuit de débauche pour fêter ma semi-victoire de la veille, j'ai fais une erreur impardonnable.  Mauvais achat, mauvais ticket, mauvais bateau. Au moment où j'ai embarqué sur le Paradise Place, j'ai laissé mes deux acolytes à Seattle en leur intimant fermement, sous peine de souffrances atroces, d'attendre le prochain bateau pour Kyoto. J'espère juste qu'ils l'ont fait. Pour ma part, je ne donne plus cher de ma peau.

Bon, puisque je risque la mort, autant prendre du bon temps non ? Le temps de trouver une solution à ce soucis d'importance majeure et cruciale, je me considère comme en vacances. N'allez pas croire que je vais, tel James Bond, plonger au milieu de l'océan pour rattraper le bateau précédent. Je préfère faire le tour du monde en profitant des cocktails et des massages que j'ai allègrement payés. Si on ne peut pas prendre un peu de bon temps avant d'être fusillé..



Gazelle encore et toujours, contaminée par la kikoololitude de sa cousine Luan, mais à un degré moins sérieux quand même. J'vous aime, enfin j'crois. Pas sûr. J'te dirais ça quand j'aurais grignoté un truc.


Ft. U Ji Ho aka Zico


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Bienvenue \o/ Zico quoi ! Tu peux pas te tromper avec Zico  happy Fighting pour ta fiche :D ola

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Lee Ae Sook
Crazy Crazy cool
Lee Ae Sook
A embarqué le : 07/11/2013
Notes : 607
Age : 30
Sur le bateau je squatte : sun desk
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ZICOOOOOOOOOOOOOOOOO  groupie bave inlove 
Re bienvenue héhé heart deux 
Fighting pour cette nouvelle fiche !  kihi 

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Han Ki Seol
Crazy Crazy cool
Han Ki Seol
A embarqué le : 09/11/2013
Notes : 721
Age : 31
Sur le bateau je squatte : Sun Desk baby
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Rebienvenue à toi keur
Bon courage pour ta fiche !

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Bienvenue sur PP !
Amuses-toi bien  ola 

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Rebienvenue sur le forum! tryo dance 

Bonne chance pour ta fiche.  tango 

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BIENVENUE !!!!! Amuse-toi bien sur le fofo' :3

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merci beaucoup les gars, j'tente pas de finir rapidement cette fois, j'vais plutôt tenter la qualité x)

edit : j'ai rien dit j'en avais marre. rapidité powa  yeah 

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DP pour annoncer ma victoire sur la fiche  yeah

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Lee Ae Sook
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Lee Ae Sook
A embarqué le : 07/11/2013
Notes : 607
Age : 30
Sur le bateau je squatte : sun desk
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Alors, pense à séparer ton texte (surtout pour le caractère, vu que l'histoire tu as fait des paragraphes), car ça fait un gros bloc à lire et tu te perds un peu xD

Après j'ai pas compris la fin, tes deux acolytes sont avec toi ou pas ? ou ils sont avec le type que t'étais censé ramener à Kyoto, et donc dans le bateau qui est parti avant le Paradise Place ? c'est juste pour éclaircir un peu la fin hein, pas pour t'embêter xD c'était parfait sinon et je te valide dès que tu m'auras dit rose

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Le découpage du caractère va peut être aider à la compréhension ? J'avoue l'avoir totalement bâclé mdrr *déteste faire les fiches* Quand à l'histoire j'ai retouché un peu la fin pour répondre à ta question

Spoiler:

ils sont donc censés retourner à Kyoto sur le prochain bateau pour suivre le mec mais la dernière fois qu'il les a vu c'était à Seattle x)

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Lee Ae Sook
Crazy Crazy cool
Lee Ae Sook
A embarqué le : 07/11/2013
Notes : 607
Age : 30
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Non le découpage c'était surtout pour après, pour tes rp, que tu balance pas un seul gros bloc à tes partenaires xD mais merci rose et merci d'avoir détaillé ce point là, c'est parfait  yeah 

Tu es validé(e) !

Hey ! Ton passeport est validé ! Tu peux maintenant monter à bord du Paradise Place en tant que vacancier. Après avoir recensé ton avatar tu pourras courir poster ta fiche de lien, chercher des partenaires de rp ou encore flooder ! Surtout n'hésites pas à te faire connaître des autres. Viens demander ta clé de chambre. Penses aussi à passer par le bureau administratif dans lequel tu trouveras plusieurs informations comme : la présentation du staff, les détails sur les différentes escales ainsi que les postes disponibles en tant que membre du personnel ou encore le système de point. Et puis surtout, penses à t'amuser un maximum ! Nous sommes là pour nous éclater après tout. Si tu as des questions n'hésites pas à harceler le staff par mp, nous serons ravis de te répondre !

L'équipe du Paradise Place

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