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Excuse me, have you some fire ? feat Han Keenan
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Im Chul Hei
Crazy Crazy cool
Im Chul Hei
A embarqué le : 10/11/2013
Notes : 178
Age : 31
Sur le bateau je squatte : Sun Desk
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Le soleil était déjà haut lorsque Chul Hei avait ouvert les yeux. Comme à son habitude il avait veillé tard, ou tôt, à vous de le voir, il faut dire que le jeune homme n’aimait pas particulièrement dormir de nuit. En effet, c’est bien souvent lorsque la voûte Céleste étoilée le surplombait que le styliste se voyait doté de ses meilleures idées. Et puis, cette propension à veiller aussi tard tel un oiseau de nuit, n’était qu’un des souvenirs que lui avait laissé son ancienne vie de fêtard invétéré…Enfin il s’était dirigé vers son lit pour une salvatrice nuit, si on pouvait appeler cela ainsi à  huit heures du matin, et connu un sommeil calme pour une fois. Habituellement le jeune homme était coutumier des cauchemars et autres rêves étranges, surtout depuis qu’il avait eu l’occasion de constater que deux fantômes du passé  avaient eu la brillante idées de se trouver sur la même croisière que lui. Le destin était-il si cruel que cela? Ou tout du moins farceur, mais cette mascarade n’amusait guère le brun dans ce cas là. Il avait conscience du mal qu’il avait fait à la jeune  Ae Sook, mais ne l’avait-elle pas un peu cherché? Cette vengeance n’est néanmoins pas une  chose dont était fière Chul Hei, mais que voulez-vous, à amour passion, trahison rime exécution. Il fut le bourreau éreinteur qui sans vergogne réclama en sentence la  destruction d’un cœur. Il y avait aussi cette rencontre quelque peu étrange où il avait vu Jun Woo, le plus risible dans cette histoire étant qu’il ne l’avait pas reconnu tout de suite et avait commencé par lui faire du pied. Et puis il y avait Ji Hyuk, non pas que ce dernier se trouvait à fouler le plancher du luxueux paquebot, il ne pourrait jamais le faire …il était mort… Malgré leur violente altercation d’il y a quelques années, il fut le meilleur ami du styliste des années durant, compagnon de classe et de soirées endiablées. C’était le bon temps, mais toute chose a une fin, alors que l’on voudrait à nouveau feuilleter les pages que l’on aime tant, celle de la mort se trouve déjà sous nos doigts…. Difficile de dormir paisiblement dans ce cas là non?

Un œil s’ouvre paresseusement et observe l’heure affichée sur l’écran d’un I phone dernier cris: quinze heures et trente minutes. Un record pour le brun qui peine bien souvent à dormir plus de quatre heures d’affilées, il était devenu un pro de la micro-sieste à cause de cela. Il avait d’ailleurs dans l’atelier parisien où il officiait un sofa fétiche où il rattrapait comme il pouvait les désastres de ses nuits agitées. Néanmoins, jamais il n’aurait raté une journée de travail, ce dernier était ce que l‘oxygène était à la vie, c’est-à-dire indispensable. Un pied se pose sur le sol et après s’être étiré correctement le jeune homme se dirigea vers une douche tonifiante. Elle finit de réveiller Chul Hei qui se hâta de se sécher et de se vêtir d’un jean à la coupe étudié, d’un marcel blanc et de sneakers qu’il avait lui-même designé. Que voulez-vous un styliste, même en vacance sait se parer de ses grands classiques, un dernier regard au miroir lui indiqua qu’il était fin prêt à sortir. Il se pressa quelque peu  dans les couloirs, la première cigarette qu’il sortait de son paquet après avoir émergé, et ce quel que soit l’heure de la journée, devait être fumée dans le quart d’heure qui suivait, sous peine de mettre le brun d’une fort mauvaise humeur. Les personnes travaillant avec lui pouvant en attester… Une fois sur le pont, il se munit de ses lunettes de soleil et se dirige vers un espace fumeur, il porte alors machinalement une main à son paquet de cigarettes et coince habillement un cylindre de tabac entre ses lèvres. Un petit soupir de contentement anticipateur fraichissant ses lèvres, mais fut bien vite stoppé par une contrariété imprévue. Le briquet  de Chul Hei n’avait plus de gaz, c’était bien sa veine, il n’y avait aucun fumeur à l’horizon… l’énervement guettait déjà, lui accro? Il vous dira que non et qu’il n’aime pas que l’on le prive de son petit plaisir du réveil… Ne jamais contredire le styliste, jamais, à moins d’être un de ses supérieurs de la prestigieuse maison où il travaillait, et encore…

Alors qu’il allait se remettre en marche pour chercher un autre briquet, un sauveur inopiné se présenta à lui. Ni une ni deux, le brun fond sur le fumeur fraîchement arrivé. « Bonjour, excuse moi de te déranger dans ta pause clope mais tu pourrais me passer ton feu? Le miens vient de me lâcher à l’instant ce sale traître…. Toujours capricieux quand il ne le faut pas d’ailleurs ceux-là non? » Il souri et se gratta la tête, il était à nouveau détendu, les chances pour que son vis-à-vis lui refuse sa requête étant quasi nulle. Vous connaissez la solidarité entre fumeurs, lorsque l’on est dans la galère il y aura toujours une personne pour vous passer du feu. Et puis, mine de rien, c’était un excellent moyen d’engager la conversation, quelle ironie qu’un instrument de mort soit un facteur de cohésion sociale le plus répandu n’est-ce pas?

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Han Ki Seol
Crazy Crazy cool
Han Ki Seol
A embarqué le : 09/11/2013
Notes : 721
Age : 31
Sur le bateau je squatte : Sun Desk baby
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Putain. Il me faut une pause. Genre. Là. Right now. Énervé ? Ouais, une fois de plus. J'en peux déjà plus de ce job sérieux. J'aurais même préféré être homme d'entretien plutôt que de me taper des cliente aussi chiante. Sérieusement. Bref. Il me reste une heure avant ma pause. Et l'autre et là en face de moi entrain de me raconter sa vie sexuelle ô combien passionnante. Elle se plaint, se réjouie, se plaint encore. Je me demande quand est ce qu'elle va s'arrêter. Avec ses airs de bourgeoises j'ai juste envie de me lever et de me barrer. Mais non, impossible. Je suis payer pour et par ces dames alors, je ne peux qu'assouvir à leur désir. Enfin, pas tous. Je suis un hôte, pas un prostitué qui se fait ses clientes. Certaines ont essayés mais c'est contraire au règlement et ça m'arrange bien. Il n'y en a pas une qui a réussit à n'avoir ne serait ce qu'un baiser de ma part. Elles croient franchement qu'en claquant des doigts je vais devenir leur objet d'une après midi ? Ou d'une nuit, tout dépend de mon emploie du temps. Bref. La voix de la femme en face de moi commence à me rendre dingue. Ce qui fait que d'un coup le mur d'en face devient presque plus intéressant que son discours. Elle pourrait pas se taire. J'ai essayer, en lui offrant un verre, histoire qu'elle ait un truc aux lèvres. Mais non. J'ai essayer de la faire manger aussi, mais madame ne mange pas entre les repars, ça pourrait lui faire prendre du poids. Je pourrais essayé d'être un mec exécrable et l'envoyer chier, mais je risque de perdre des thunes et mon boulot. Donc je m'abstiens. Elle continue, encore, sérieusement, elle a eut combien de mec dans sa vie ? Je veux la stopper en l'appelant, sauf que j'ai oublié son nom alors.. Je vais éviter de sortir n'importe quoi. Madame pourrait se vexer.

Quinze heure quarante. Pause. Enfin. Madame vient de partir, satisfaite alors que j'ai pas écouté la moitié de ce que j'ai dit, j'ai tout de même eut le droit à un pourboire. Tant mieux hein. J'espère juste qu'elle reviendra pas. Ou qu'elle reviendra mais qu'elle choisira un autre hôte que moi. Bref. Je dépose les verre utilisés sur le bar et sors du club pour monter à la terrasse. J'ai besoin d'air et d'une clope. Je sais pas ce que fout Khloé. Elle soit être entrain de s'éclater quelque part. Peut être que j'vais la croiser à la piscine. Peut être pas. Je l'appellerait bien, mais on a pas le dernier portable à la mode avec un abandonnement de malade. J'ai pas les moyens pour le moment. J'ai tout mit dans son billet de croisière. On roule pas sur l'or quoi et d'un côté j'suis content qu'on ait fini sur un bateau de luxe. Parce que pour elle, c'est encore mieux. Elle a d'autant plus de choses à découvrir. Et si elle a besoin de moi pour lui décrire le paysage, je serais là. Je monte assez rapidement, merci l'ascenseur. Et une fois sur la terrasse je me diriger vers la rambarde la plus proche et observe un instant le paysage en face de moi. L'océan à perte de vue, magnifique ouais. J'suis jamais allé à la mer avant, alors là au moins on est servit. Je me met à tâter mes poches cherchant mon paquet de tabac. Puis je m'en roule une, priant pour qu'il n'y ait pas une gros coup de vent au moment où j'étale le tabac. Je ferme mon paquet, après avoir ranger les feuilles et les filtres dedans et le remet dans la poche de mon jean. Portant l'objet du mal à mes lèvres je l'allume et tire dessus avant de coincer la cigarette entre mon indexe et mon majeure et de la retirer de mes lèvres, histoire d'expirer la fumée qui vient de se propager dans mes poumons rapidement, les pourrissant un peu plus.

Alors que je m’apprête à ranger mon briquet, perdu dans mes pensée, on vient me le demander un peu précipitamment. Je tourne le regard vers l'inconnu, trop de mot en peu de temps. Je souris légèrement à la fin de sa phrase, lui je l'ai écouté jusqu'au bout. « Salut. Oui, pas de soucis, tiens. » Je lui tends mon briquet pour qu'il puisse allumer sa clope. « J'espère qu'il te lâchera pas celui là » Je ris légèrement, espérant moi aussi au fond, que mon briquet ne lâchera pas. Sinon serait tous les deux dans la merde. Et j'ai pas envie de courir après un briquet toute l'après midi, j'ai qu'une heure de pause. Et encore ma dernière client m'avait retenu une dizaine de minutes en plus. Bref. Je pose à nouveau mon regard sur l'océan avant de reprendre « Et puis, don't worry, tu me dérange pas, un peu de présence masculine ne me fera pas de mal » J'ai rien contre les femmes, au contraire. Mais passer sa journée à les voir défilé, je deviens dingue. Alors ouais, il y a des moments où j'ai rien contre une discussion avec un mec, sans avoir à écouter les problèmes de demoiselles ou vieilles dames en manquent d'affection. Je tourne la tête vers lui, m'appuyant sur la rambarde à l'aide mes avant bras, reprenant mon briquet une fois qu'il a allumé sa clope, je le range dans ma poche avant de reposer mon avant bras sur la barre de fer, laissant un peu mon poids tomber dessus.

Spoiler:

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Im Chul Hei
Crazy Crazy cool
Im Chul Hei
A embarqué le : 10/11/2013
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Quinze heures trente, heure indécente pour se réveiller non? Et pourtant cette nuit là, point de fantaisies débauchées pour le styliste, mais bel et bien du travail. La nuit était bien souvent synonyme de période prolifique pour le jeune homme, lorsque la voute céleste revêt ses plus beaux apparats l’imagination de Chul Hei s’emballe. Les crayons avaient inlassablement griffonné toute la nuit durant, raturant un modèle insatisfaisant, traçant une courbe ça et là. Ce n’est qu’à huit heure, du matin, qu’il déposa les armes prêt à jouir du salvateur repos du guerrier. Pour une fois le sommeil avait été oublieux, ne lui infligeant pas ces sempiternels cauchemars arasant le hantant nombre de fois. Pourtant, il y avait de quoi cauchemarder, à peine quelques semaines passées sur ce paquebot avaient réussi à ramener dans sa vie des fantômes qu’il croyait disparus depuis bien longtemps. Mais la vie nous réserve toujours des surprises, et parfois ces dernières ne sont pas vraiment au goût de tout le monde. Encore moins à celui de Chul Hei. Mais revenons au levé du jeune homme. Après une douche tonifiante et s’être vêtit rapidement, mais toujours avec une tenue étudiée, on ne refait pas un styliste, il avait enfin franchit le seuil du couloir. Malgré les proportions titanesques du navire, le brun n’avait mit que peu de temps à atteindre le pont. Vous savez, la première clope de la journée, celle que vous fumez à peine descendu du lit, celle pour laquelle vous seriez prête à tuer si besoin se présentait. Et bien elle donne bien souvent des ailes non?

Dans un geste familier il sortit de la poche de son jean son paquet où était également entreposé son briquet. Un cylindre de tabac est rapidement coincé entre les lèvres du styliste, et là, c’est la drame. La flamme tant attendue ne répondit aucune fois à l’appel frénétique du brun, il fallait se rendre à l’évidence, son briquet n’avait plus de gaz et était bel et bien mort. Après avoir soupiré tout ce qu’il savait et avoir juré dans sa barbe, il allait reprendre le chemin de sa cabine lorsqu’un sauveur inopiné apparu à lui. Le jeune homme était en train de rouler tranquillement, une aubaine pour Chul Hei qui fondit sur le fumeur fraîchement arrivé sur le pont. Il sourit même en entendant cette furie qui l’avait assaillit.  « Salut. Oui, pas de soucis, tiens. Un briquet fut alors tendu et le brun s’empressa de le saisir. J’espère qu’il te lâchera pas celui-là. » Ces paroles furent suivies d’un rire bref. « Merci, oh et bien on serait bien emmerdés pour le coup . ». Le vis-à-vis du styliste ne répondit pas de suite, reportant son attention sur l’immense étendue aqueuse s’étalant à perte de te vue. « Et puis, don’t worry, tu me déranges pas, un peu de présence masculine ne me fera pas de mal. ». Un sourcil se hausse paresseusement et une petite moue amusée apparait sur le visage de Chul Hei, en train d’allumer sa cigarette. Il prend une première longue bouffée avant de prendre la parole, la pause clope, ça se savoure. Ceci une fois fait, il rend l’objet à son propriétaire encore absorbé par sa contemplation silencieuse de l’Océan. « Un problème avec la gente féminine aujourd’hui? Chul Hei se laissa glisser dos contre la rambarde métallique le séparant du vide. Il faut avouer qu’elles sont un peu exaspérantes parfois, mais c’est-ce qui fait leur charme après tout…. »

Le styliste resta lui aussi à son tour muet un instant, observant les volutes bleutées s’évaporer dans la chaleur estivale. Il laissa un instant son esprit se perdre au milieu de ses arabesques fumeuses, puis il se reprit et se tourna vers son vis-à-vis, prenant garde de ne pas disperser ses cendres n’importe où. Une chance pour lui qu’il avait toujours un cendrier de poche, invention fort pratique n’est-ce pas ? Il tendit une main en direction du jeune homme à l’air boudeur, jeune homme fort attrayant d’ailleurs, quelle dommage qu’il fleure l’hétéro à mille lieux. «  Moi c’est Chul Hei et toi?Il laissa son compagnon du jour lui répondre et reprit. Enchanté, dis moi tu as embarqué depuis combien de temps? Il s’arrêta un instant et observa un instant la tenue du jeune homme. Tu as du goût, c’est rare de nos jours. Ne t’inquiète pas hein, je ne suis pas un maniaque ou un truc du genre…Je suis styliste, alors certains détails me sautent plus aux yeux que d’autres. Dis moi tu bosses ici? Si c’est le cas-tu dois être un hôte non? Il eut un petit sourire, satisfait de lui-même. J’ai toujours été bon aux devinettes nous allons dire. » Il accompagna ses dires d’un clin d’œil et reprit en bouche sa cigarette délaissée, se perdant à nouveau dans l’observation de cette étendue azure. Il était agréablement surprit par sa journée, mis à part son briquet qui était bon pour la poubelle, il n’y avait eu aucune catastrophe en vue. Il était même en train de sympathiser avec ce jeune homme. Les vacances s’annonçaient finalement pas si mal que ça, il soupira néanmoins discrètement. Son appartement et ses habitudes Parisiennes lui manquaient déjà, l’atelier devait être bien vide sans cet excentrique personnage vociférant lorsqu’on osait le réveiller d’une sieste réparatrice. Et si il croisait une de ses couturières en vacances tiens? En voilà un programme amusant… Il chassa toutes ces idées, pour le moment il avait faillit se brûler à rêvasser, décidément les artistes sont toujours trop la tête dans les nuages

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